LETTRE AUX SCIENTIFIQUES ET CHERCHEURS DE VÉRITÉ


Chers scientifiques, citoyens du monde et chercheurs de confort pour nos semblables
Permettez-moi cette lettre d’un simple curieux qui n’a pas votre connaissance, mais qui a rôdé un peu partout sur cette planète à la recherche de certaines compréhensions.


Chaque tradition de notre bonne vieille planète donne un éclairage sur le monde d’hier, d’aujourd’hui et donc de demain.
Certainement que ces connaissances ancestrales cachent des faiblesses, mais aussi des savoirs pertinents. Certaines sagesses orientales soulignent l’importance des subtilités pour maintenir l’équilibre de la vie, un rien pouvant transformer le tout. Elles parlent d’héritages génétiques, énergétiques, émotionnels, cellulaires. Mais ces cadeaux qui nous ont façonnés, seront-ils toujours transmissibles à nos enfants et petits-enfants ? Le moule qui nous a construit pourrait-il se casser ?


Quel monde pour nos enfants ? Quels enfants ?
Quel monde pour nos enfants ? Quels enfants ?


Une alléchante proposition des OGM


Qui sont ces OGM présentés comme les sauveurs de l’humanité, en évitant génétiquement certaines maladies des cultures, en supprimant l’usage des pesticides polluants ? Ces nouveaux venus s’inscrivent en rupture avec la longue trajectoire de la vie sur terre construite par la synergie entre le monde végétal et le monde animal : à chaque nouvelle plante sur terre ou dans les mers, des animaux grandirent et évoluèrent sous l’action génétique de cette plante. S’il est vrai que « Je deviens ce que je mange », les algues, les champignons, les graminées, les légumes, les fruits, les légumineuses, transformèrent la vie animale dans ses séquences génétiques .


Mes premières questions :
– Est-ce que l’animal s’est transformé génétiquement depuis les gènes végétaux qu’il mangeait ? Réalité ou absurdité ?
– Certains gènes mangés peuvent-ils transformer nos propres gènes ?
– L’homme étant né à la même période que les céréales, ceux-ci ont-ils stimulé le cerveau humain? N’oublions pas que toutes les grandes civilisations naquirent avec l’introduction de la culture d’une céréale, ce qui pourrait signifier que l’homme soit construit depuis les gènes de cette plante.

Notre médecine sait que ’équilibre mental et physique d’une personne dépend parfois de certaines substances en quantités infinitésimales (acides aminés, vitamines, … ), facteurs de subtiles réactions physiologiques. Un être humain parfois se « détraque » depuis des « riens » qui semblent malgré tout essentiels à sa santé physique et mentale. Plus subtils que ces substances, les gènes conditionnent-ils notre équilibre profond, nos finesses intérieures, émotionnelles et mentales ?


Mes deuxièmes questions :
Si nous considérons que le noyau de la cellule est « la bibliothèque » qui renferme tout le patrimoine héréditaire de l’individu, cela veut-il dire qu’en modifiant même de façon infime une séquence des gènes d’une céréale, nous prenons le risque de mutation de nos propres gènes ?
Est-ce un risque envisageable ?
Ce qui signifierait que contrairement aux agressions des pesticides et des toxiques en tout genre, le danger viendrait de l’intérieur de l’être humain.
Face aux agressions venues de l’extérieur comme des pollutions par exemple, nous pouvons imaginer que l’homme a une capacité de défense, à la façon de ces rois qui s’immunisaient contre les poisons en s’y accoutumant par une ingestion progressive.


Mais face à une modification de ses gènes, que peut-il faire ? L’être humain serait-il menacé dans son intégrité la plus profonde ? N’allons-nous pas « tuer » l’être humain actuel pour un mutant fabriqué par les lobbies agro-alimentaires ?
L’argent gagné par ces lobbies peut-il tuer la poule aux œufs d’or : la race humaine d’aujourd’hui ?


Y a t-il eu des études en ce sens ?
Certains scientifiques peuvent-ils répondre à notre lettre ou entamer des recherches ?
Vous êtes cordialement invités à répondre par écrit ou devant nos caméras.


Alain Delaporte-Digard pour www.sereni.org

 



Alain Delaporte-Digard
Pendant ses nombreux tours du monde, Alain Delaporte-Digard a développé une connaissance de l’être dans sa globalité, une compréhension du fonctionnement du corps et de ses blocages, un savoir-faire amenant au savoir-être.
Il a créé avec sa femme Josiane une méthode pour réguler les flux dans le corps, la bioRégulation. Il continue à créer des SPA dans le monde entier (Giorgio Armani à Tokyo, le nouveau paquebot France, …, SPA en Azerbaidjan et au Maroc en cours)

Alain consulte dans son cabinet
Sereni SPA
16 rue de Marignan 75008 Paris
01 42 09 54 69