Présente dans toutes les régions tempérées du monde, la vigne nécessite autant un sol argileux et riche en silice qu’un fort ensoleillement. Si ses fruits – le raisin –  sont cultivés pour leurs consommations – frais, en jus ou en vin -, ses feuilles et ses pépins sont utilisés en médecine traditionnelle pour leurs propriétés thérapeutiques. La recherche biomédicale s’intéresse aux substances contenues dans la vigne rouge (et le vin) du fait des effets bénéfiques qu’elle semblerait procurer à ses utilisateurs.

vigne

Un allié de la femme

 

Grâce aux oligo-proanthocyanidines aux puissantes propriétés antioxydantes, les symptômes de l’insuffisance veineuse et des varices ne résistent pas souvent à une cure d’extraits de pépins ou de feuilles de vigne rouge. Régulateur naturel de la circulation sanguine des plus puissants parmi les plantes, la consommation de vigne rouge évite la stase veineuse, protège les vaisseaux, diminue leur calibre et favorise le retour veineux. Autant d’atouts pour aborder la ménopause avec sérénité. En effet, cette période de la vie d’une femme est particulièrement riche en désagréments et les traitements hormonaux utilisés pour contrer ces symptômes entraînent souvent de nombreux effets secondaires tels que jambes lourdes, varices, ecchymoses… Enfin, grâce à ses bienfaits contre les règles douloureuses, la vigne rouge renferme tous les atouts nécessaires pour accompagner les femmes tout au long de leur vie.

 

Elodie Poinsot pour www.sereni.org